Les Peurs au Moyen-Age
Les élèves d'une classe de cinquième du collège Jean Zay rendent compte de leurs recherches en histoire, arts plastiques et français...
15 décembre 2006
11 décembre 2006
Julien, le troubadour de la cathédrale Notre-Dame (enfin presque !)
La semaine dernière, nous sommes allés à Paris. Nous avons visité Notre-Dame et le Musée du Moyen-Age, je vais, pour ma part, vous raconter la visite de Notre-Dame.
Pour accéder en haut de celle-ci nous avons dû monter quatre-cent-deux marches. De là, nous avons observé les gargouilles qui permettent l'écoulement de l'eau à distance des murs et différentes autres sculptures.
Puis nous avons monté encore une dizaine de marches, un guide nous a alors appris qu'à l'origine il y avait trois clochers, désormais, il n'en reste qu'un. Il nous a renseigné sur la taille, le poids et le diamètre de celui-ci appelé bourdon. Il fallait une dizaine d'hommes pour le faire sonner ; ils étaient pour la plupart devenus sourds. Au cours du XXe siècle, les hommes ont été remplacés par un mécanisme.
Nous avons alors redescendu les quatre-cent-deux marches, puis nous sommes entrés dans la majestueuse cathédrale. Nous en avons fait le tour observant tableaux et fresques qui sont pour la majorité d'entre eux d'inspiration religieuse. Les professeurs nous ont demandé de dessiner un croquis représentant l'autel et les vitraux situés derrière celui-ci.
Pour accéder en haut de celle-ci nous avons dû monter quatre-cent-deux marches. De là, nous avons observé les gargouilles qui permettent l'écoulement de l'eau à distance des murs et différentes autres sculptures.
Puis nous avons monté encore une dizaine de marches, un guide nous a alors appris qu'à l'origine il y avait trois clochers, désormais, il n'en reste qu'un. Il nous a renseigné sur la taille, le poids et le diamètre de celui-ci appelé bourdon. Il fallait une dizaine d'hommes pour le faire sonner ; ils étaient pour la plupart devenus sourds. Au cours du XXe siècle, les hommes ont été remplacés par un mécanisme.
Nous avons alors redescendu les quatre-cent-deux marches, puis nous sommes entrés dans la majestueuse cathédrale. Nous en avons fait le tour observant tableaux et fresques qui sont pour la majorité d'entre eux d'inspiration religieuse. Les professeurs nous ont demandé de dessiner un croquis représentant l'autel et les vitraux situés derrière celui-ci.
07 décembre 2006
01 décembre 2006
La visite de Notre Dame
Le lundi seize octobre, nous sommes allés visiter Notre Dame de Paris. L'église compte trois cent quatre-vingt-sept marches ! Les tours dominent la ville à soixante-neuf mètres. La galerie des chimères se situe à quarante-six mètres de haut.
La première pierre a été posée en 1163 par l'évêque Maurice de Sully. La construction de la façade ne commença que vers 1200. Entre 1210 et 1220, les architectes atteignirent le niveau de la rosace. Les tours ont été achevées vers 1245.
Notre Dame de Paris est une cathédrale de style gothique flamboyant. Les vitraux sont réalisés avec une très grande précision. Une rosace se trouve au-dessus de chaque entrée au nord, au sud et à l'ouest. Les dessins sont gravés avec une finesse extraordinaire qu'il serait difficile de décrire. Les gargouilles permettent d'évacuer l'eau. Les chimères dont la plus célèbre, la stryge, semblent contempler la capitale. Les contreforts servent à soutenir la voûte en croisées d'ogives dont le centre s'appelle le pied de voûte.
Dans le beffroi de la tour sud, un escalier de bois conduit au bourdon Emmanuel Ludovic Marie-Thérèse qui a été créé le quatorze juillet 1682. Il pèse treize tonnes. Au début, dix-huit personnes devaient tirer des cordes qui le balançaient. Il pouvait s'élever très haut. En 1850, apparurent les pédaliers qui ont permis de réduire le nombre de sonneurs. Les moteurs électriques arrivèrent au vingtième siècle. Il y a quatre cloches dans la tour nord. Aujourd'hui, le bourdon ne sonne que pour les grandes occasions comme la Pentecôte, Noël, la Toussaint, le Carême, les Rameaux etc...
La cathédrale a été rénovée en 1850 par Viollet-Le-Duc car les statues avaient subi de graves dommages pendant la Révolution.
La première pierre a été posée en 1163 par l'évêque Maurice de Sully. La construction de la façade ne commença que vers 1200. Entre 1210 et 1220, les architectes atteignirent le niveau de la rosace. Les tours ont été achevées vers 1245.
Notre Dame de Paris est une cathédrale de style gothique flamboyant. Les vitraux sont réalisés avec une très grande précision. Une rosace se trouve au-dessus de chaque entrée au nord, au sud et à l'ouest. Les dessins sont gravés avec une finesse extraordinaire qu'il serait difficile de décrire. Les gargouilles permettent d'évacuer l'eau. Les chimères dont la plus célèbre, la stryge, semblent contempler la capitale. Les contreforts servent à soutenir la voûte en croisées d'ogives dont le centre s'appelle le pied de voûte.
Dans le beffroi de la tour sud, un escalier de bois conduit au bourdon Emmanuel Ludovic Marie-Thérèse qui a été créé le quatorze juillet 1682. Il pèse treize tonnes. Au début, dix-huit personnes devaient tirer des cordes qui le balançaient. Il pouvait s'élever très haut. En 1850, apparurent les pédaliers qui ont permis de réduire le nombre de sonneurs. Les moteurs électriques arrivèrent au vingtième siècle. Il y a quatre cloches dans la tour nord. Aujourd'hui, le bourdon ne sonne que pour les grandes occasions comme la Pentecôte, Noël, la Toussaint, le Carême, les Rameaux etc...
La cathédrale a été rénovée en 1850 par Viollet-Le-Duc car les statues avaient subi de graves dommages pendant la Révolution.
N.B : cliquez sur le titre de l'article pour accéder au site des Musées Nationaux de France.